Comment ma vie professionnelle a influencé le coach de vie, la conseillère de vie que je suis devenue

 

 

Faire appel à moi pour une séance n’est pas difficile. L’exercice est un essai qui permet de valider que la relation fonctionne et permet la confiance nécessaire à l’obtention des résultats espérés.

Et s’engager pour 3 mois est bien autre chose.

Il me semble donc nécessaire d’en dire davantage à propos de qui je suis en tant  personne et conseillère de vie. Je vais donc conter mon parcours de formation à l’intention de celles et ceux qui ont besoin d’être informés.

L’alignement de qui l’on est dans le fond avec ce que l’on fait est source de grands bienfaits ! Mais, il n’est pas facilement accessible, particulièrement pour les personnes non soutenues dans leur quête.

 

Une coach de vie scientifique…

Personnellement, j’ai commencé par faire des études scientifiques. En fait, toutes les matières m’intéressaient : j’adorais le français, les rédactions, l’anglais, et même la couture ! Mais être bonne en Maths impliquait de faire un bac C (devenu S). J’ai suivi le mouvement, ai fait honneur à mon père  en devenant ingénieur… comme lui.

 

…et informaticienne

J’ai ensuite exercé des métiers techniques et commerciaux dans une grande société informatique américaine. D’une jeune diplômée, rarement sortie de sa province, j’ai intégré une équipe parisienne de centraliens, HEC’s, SUPELEC et même Polytechniciens. En quelques années, j’y ai fait ma place et suis devenue une professionnelle appréciée de mes clients et reconnue de mes différents patrons. La reconnaissance que j’y ai trouvé m’a sûrement encouragée à y rester  : mes succès me valorisaient grandement.

 

Quels bénéfices pour la coach de vie ?

Les bénéfices de cette longue période qui a duré presque 25 ans ? Il y en a beaucoup !

  • Le plus important peut être est que j’ai appris la persévérance et l’engagement pour réussir. J’ai ainsi réussi presque tout ce que j’ai entrepris ou souhaité dans ma vie personnelle et professionnelle à cette époque.
  • J’aimais l’excellence: la société pour laquelle je travaillais était réputée. Elle attendait de ses collaborateurs un travail de grande qualité. Ca m’a plu : c’était motivant pour moi de la viser.
  • J’ai également appris la structure: impossible de réussir dans un tel environnement sans devenir une personne structurée. C’est souvent indispensable pour conduire un projet (idéalement de concert avec l’inspiration !)
  • J’ai établi des relations avec un nombre vraiment important de personnes : tous mes collègues d’équipe pour les gros dossiers, tous mes clients – les décideurs ou leurs collaborateurs,… En 25 ans, j’ai connu ou fréquenté des milliers de personnes et collaboré étroitement avec des centaines.
  • Le changement: chaque année amenait son lot de changements – fonction, offre,  manager, équipe, clients,..  J’ai compris que j’aimais le changement !
  • Apprendre & se former : la technologie avançait déjà vite. Mes collègues et moi allions très souvent en formation en Europe ou aux Etats Unis. C’est un luxe que Big Blue offrait à ses employés et que j’ai beaucoup apprécié.
  • Célébrer les succès et faire la fête: les soirées, les voyages, les lancements d’année… sont de très bons et joyeux souvenirs pour moi. Travailler c’est bien. Célébrer ensuite c’est encore mieux !
  • Le goût pour l’Art et l’ouverture d’esprit  : j’évoluais dans un milieu favorisé parisien où l’intelligence, ou plutôt l’éducation, et la culture était commune : ce fut une période où j’ai beaucoup évolué culturellement. L’art, très accessible à Paris, a pris place dans ma vie et y a pratiqué une ouverture très bénéfique.

 

Les leçons de vie pour la conseillère de vie

Quant aux inconvénients, il y en avait quelques-uns aussi :

  • L’argent et les calculs : l’argent était très présent au travers du montant des dossiers à 6, 7 ou 8 chiffres. Je passais beaucoup trop de temps à mon goût derrière mon tableur. De plus, l’argent était un moteur puissant pour nombre de commerciaux… mais pas pour moi. J’avais le sentiment qu’il était un moyen et non un but. Je voulais apporter une solution à mes clients qui avait un prix et non pas vendre des produits !

En fait, je n’aimais pas l’argent et me sentais assez différente de nombreux collègues sur ce point. Je n’avais pas encore démêlé mon histoire familiale et du coup l’origine de ce positionnement personnel.

  • Le but du but: l’inconvénient majeur était que le but de l’entreprise était de vendre des ordinateurs et des logiciels… Ce n’ était pas le but de ma vie. Un jour, ça ne m’a plus suffi.

 

Une grande transition devenue nécessaire

A la suite d’un drame familial, après avoir longuement accompagné la maladie puis vécu le décès de mon petit frère, j’ai ressenti la nécessité de quitter ce « nid » familier.

En fait, il était devenu moins confortable avec les années : la « pression » déjà bien haute montait, sans fin.… Et il a fallu que le ciel me tombe sur la tête pour que je prenne ma décision. C’est là que j’ai pris le virage pour devenir Coach de vie. Conseillère de vie en français.

 

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